top of page

Fidelio / Marzelline- Opéra de  Nice,  January 2023

« Jeanne Gérard, incarnant Marzelline, démontre la maîtrise de sa technique vocale dès les premiers instants de l’opéra. Son timbre puissant sait percer dans une cohésion sonore avec le plateau, restant bien en place rythmiquement et adaptant son volume (et son riche vibrato) selon la situation. »

 

Olyrix - Alexandre Valette (full article)

 

« Superbe, la jeune Jeanne Gérard en Marzelline, fine et charmeuse, seule personnage frais de ce drame chargé. »

 

Concert Classic - Jacqueline Thuilleux (full article)

 

 

« Le couple Marzelline / Jaquino fonctionne également à merveille, avec une Jeanne Gérard toute de fraîcheur et de tendresse »

Opera OnlineEmmanuel Andrieu (full article)

 

 

« Avec des intonations joliment expressives, Jeanne Gérard est une lumineuse Marceline.»

 

Art Côte d'Azur -  Caroline Boudet-Lefort (full article)

« La distribution est digne d’une scène internationale. (…) Angélique Boudeville a, à ses côtés, une très bonne Jeanne Gérard en amoureuse éconduite. »

Nice Matin - André Peyregne (full article)

 

« Entre alors en scène Valentin Thill (Jaquino) au timbre rond et à la diction naturelle, auquel se mêle le vibrato chaleureux de Jeanne Gérard (Marzeline). On savoure la fusion des voix du duo, fluides et donnant l’impression d’une apparente simplicité. »

 

BachtrackManon Decroix (full article)

 

« Des interprètes inspirés dans un bouleversant Fidelio. (…) Albert Dohmen campe un Rocco toute de basse frémissante alors que la soprano Jeanne Gérard (Marzelline) possède ce timbre mélodieux qui convient »

 

L’Humanité 

Mediavita - album reviews, September - November 2022

« Jeanne Gérard Jeanne Gérard sings with her pure, finely timbrated voice Deux Poèmes de Guillaume Apollinaire (...) Jeanne Gérard’s singing is impeccable, highly expressive, and comes into its own with the piano part.  »

 

Pizzicato - Remy Franck (full article)

 

 

« L’alliance du clavier de Karol Beffa avec la voix cristalline de la soprano Jeanne Gérard sur les deux poèmes d’Apollinaire confine au sublime (...) Un très bel album à mettre encore à l’actif d’un des plus brillants musiciens de notre génération. »

Audiophile magazine - Joël Chevassus (full article)

Total Schubert - Le Festival du Périgord Noir, August 2022

«  Jeanne Gérard rayonne par un soprano d’une pureté savoureuse, déterminée sur l’ensemble de sa tessiture avec une projection généreuse et un investissement brillant. »

 

Res Musica - Charlotte Saulneron (full article)

Shirine / title role - Opéra National de Lyon, May 2022

« Une légende persane inspire au compositeur une musique des plus suggestives, servie par une distribution de haut vol. Comme il se doit ténor et soprano, Julien Behr et Jeanne Gérard, sont des amants magnifiques. »

Diapason - Emmanuel Dupuy (full article)


"Shirine (fabelhaft liebesschmollend und sehnsuchtslyrisch interpretiert von Jeanne Gérard) wird von einer ganzen Reihe Männer begehrt."

 Neue MusikzeitungJörn Florian Fuchs (full article)


« Un plateau exceptionnel d’où se distingue Jeanne Gérard dans le rôle-titre, une chanteuse au timbre particulier et très expressif. Dans un jeu de reflets, d’apparitions et de disparitions, la femme à la « beauté de féérie » sort et entre dans les rêves des hommes avec l’élégance d’une miniature persane que l’on retrouve dans la belle présence scénique de la soprano française. »

Première Loge
(full article)


« Avec son personnage central de princesse chrétienne émancipatrice, sa musique mariant le meilleur de l’Orient et de l’Occident, et le concours d’une équipe artistique, d’un chœur et de solistes magnifiques, Thierry Escaich vient de faire un carton à l’Opéra de Lyon. (...) Escaich ne fait aucune concession à l'arioso et opte pour un mixte de sprechgesang furieux et tendu pour la soprano Jeanne Gérard, interprétant le rôle-titre entre Salomé et Elektra. » 

Libération- Eric Dahan (full article)


« La distribution relève le défi haut la main, à commencer par Jeanne Gérard, Shirine d’un seul bloc, à la prosodie rythmée, à l’instinct de corps, et parvenant à joindre avec étanchéité les acrobaties qui lui incombent. Les graves adhérents et les nasales plantureuses soutiennent l’évolution franche vers le côté sombre et méfiant du personnage. »

Opera Online - Thibault Vicq (full article)


« Jeanne Gérard steht mit ihrem drahtigen und edlen, alle Lagen traumwandlerisch durchmessenden Sopran an der Spitze des famosen Ensembles und macht im feschen Hosenanzug (Kostüme: Wojciech Dziedzic) die Bella figura einer frühen Emanzipierten.»

Concerti - Peter Krause (full article)



« A young, enthusiastic cast with vocal highlights from Jeanne Gérard (Shirine) and Florent Karrer (Frahâd) and a motivated orchestra under Franck Ollu made this a greatly enjoyable, successful event. »

Opernmagazin (full article)


« 
La distribution pourtant est de très haute tenue. Dans le rôle-titre, Jeanne Gérard magnifie son personnage par la longue tenue et la pureté de ses aigus. »

Classiquenews (full article)


« Jeanne Gérard en veste-pantalon puis robe de même couleur fuchsia déploie de longues vocalises à la souplesse orientale mais avec l'agilité et le soutien de sa technique lyrique. La soprano assoit d'abord son autorité et sa voix par le grave, mais rayonne ensuite d'intenses aigus colorés après le départ de Khosrow, conservant son énergie pour revivre le même parcours dramatique et vocal (l'amour puis la perte d'un autre amant, de passage) avant l'union finale des corps et des voix.»

Olyrix - Charles Arden (full article)


« Jeanne Gérard incarne l'héroïne-titre Shirine avec une grande expressivité.»

Classicagenda - Marc Portehaut (full article) 

Carmen / Micaëla  - La Seine Musicale , March 2022

« Jeanne Gérard est une somptueuse Micaela. Dans le duo « Parle-moi de ma mère » de l’acte I, la pureté de son timbre délicieux régala l’audience d’aigus aériens. Puis elle se métamorphosa pour son grand air, où une colère puissante l’emporta sur la peur avec une grande détermination qui se traduisit par des aigus puissants et glaçants. »

Forum Opéra-  Audrey Bouctot (full article)


«  Jeanne Gérard est une Micaëla à la voix fraîche et efficacement projetée, dont l’incarnation contraste heureusement avec celle de Carmen. Elle aussi fait preuve d’un bel engagement, notamment dans son air du III où des répliques telles que « Je parlerai haut devant elle », lancées avec force, contribuent à faire de Micaëla autre chose qu’une simple oie blanche et confèrent au personnage une épaisseur dramatique bienvenue. »

Première Loge - 
Stéphane Lelièvre
  (full article)

Rigoletto / Gilda  - Théâtre des Champs Elysées, February 2022

Nouveaux Horizons - Grand Théâtre de Provence, November 2021

« La voix de Jeanne Gérard colle parfaitement à ce répertoire ; c’est comme si la jeune soprano parisienne se sentait chez elle dans cette musique italienne. Elle est bien dans sa voix, bien dans son jeu, car en plus d’une technique vocale irréprochable, le public a pu apprécier sa profonde musicalité et sa présence scénique remarquable (...)  Chanson perpétuelle, opus 37, une œuvre bouleversante et on est sous le charme de cette interprétation très émouvante des musiciens qui reviennent avec un plaisir non dissimulé sur scène. Là encore, Jeanne Gérard séduit. On la sent proche de son public mais aussi de son texte, superbe.  Une œuvre pleine de surprises tonales qu’elle sert admirablement de sa voix est chaude et caressante. »

Wukali- Petra Wauters (full article)


« La chanteuse s’y élance, avec les légers pépiements harmoniques de ses aigus et les sensuelles ondulations de son medium. La respiration voisée gonfle à l’hélium les grands ballons colorés des voyelles de son texte, en longs et récurrents crescendi, puis les amarre au timbre homogène et riche de sa voix. Le chant aérien et aéré est calmement et amplement vibré et projeté. Puissante et homogène, la voix est un grand matelas coloré, sur lequel se reposent ou rebondissent les différents instruments réunis.»

L'Instant Lyrique - Salle Gaveau, September 2021

« La soprano Jeanne Gérard avec une voix très texturée, centrée et lyrique, déploie un aigu radieux, couvert et plein d'harmoniques. Elle aussi défend son répertoire national (français) avec maîtrise. Ses deux interventions sont consacrées à Reynaldo Hahn et Maurice Ravel, où elle exprime avec beaucoup d'aisance et de confort son énergie, tant vocale que théâtrale, dosée tout au long de sa performance. »

Olyrix - Mai Videla (full article)


« Reynaldo Hahn convient à merveille à la soprano Jeanne Gérard, qui interprète trois de ses mélodies (L’énamourée, Néère et Le printemps) avec grande finesse et dans une vibrante émotion, usant d’une superbe palette expressive faite de nuances recherchées. Elle apporte aussi sa note grecque au programme avec les simples et touchantes Cinq mélodies populaires grecques de Maurice Ravel, parées du charme délicat de sa voix. »

Conspirito - Jany Campello (full article)

Récital Liszt/ Verdi - Estivales en Médoc, July 2021

Once upon a time in America - Festival Jeunes Talents, July 2021

En juin dernier, Jeanne Gérard avait créé la surprise à l’Opéra de Nice en parant la Sophie de Werther d’accents plus lyriques et moins acidulés que ceux habituellement entendus dans le rôle. Nous retrouvons la jeune soprano dans la cour de Guise des Archives Nationales (dans le cadre du Festival européen Jeunes Talents) pour un récital (presque) exclusivement américain, et cette excellente impression se confirme : la voix, aux harmoniques riches, est superbement colorée, avec notamment une assise dans le médium et une projection aisée qui devraient a priori pouvoir permettre à la chanteuse de s’orienter, progressivement, vers des emplois plus lyriques. La diction est parfaitement claire et permet de ne pas perdre un mot des textes (...) Surtout, la chanteuse maîtrise déjà remarquablement le difficile art du récital, où il s’agit de capter l’attention des auditeurs pendant une heure sans recourir à une quelconque dramaturgie ; ce à quoi l’interprète parvient aisément grâce, outre une constante attention portée aux mots, une physionomie et un regard très expressifs, ainsi qu’un vrai talent pour donner à chaque pièce sa couleur propre. (...) ce programme original, intéressant et superbement interprété. » 

Première Loge -
Stéphane Lelièvre (full article)



« Jeanne Gérard, formée en philosophie et anglais dans les non-moins prestigieuses classes préparatoires d'Henri IV et Université de la Sorbonne a en effet rapporté de sa formation à la Manhattan School of Music des chansons de George GershwinLeonard BernsteinCole PorterStephen SondheimAaron CoplandSamuel Barber : mariant chacun et entre eux lyrisme et jazz, musical et cabaret. L'enjeu et l'intérêt de son interprétation tient donc à l'emploi d'une voix lyrique avec la souplesse d'un phrasé sensuel, ou de ces grands crescendi très hollywoodiens puisés dans l'opéra. Sa sensualité de veuve noire souriante se déploie d'emblée et constamment dans une grande homogénéité d'expression et de projection, déployés avec une puissance et tenue impressionnantes à l'envi. L'interprète sait aussi bien placer sa ligne de chant sur la tendre tranquillité des balades au programme, tirant profit de la diversité dans ce répertoire.»

Olyrix - Charles Arden (full article)


 

Werther/ Sophie  - Opéra Nice Côte d'Azur, June 2021

« Jeanne Gérard propose une Sophie fascinante par sa justesse humaine très touchante : sans cesse sur un fil, elle oscille entre la sincérité d’un bonheur qu’elle veut partager, la conscience aigüe du drame qui se noue autour d’elle et une forme de déni indispensable à la survie de tous. Cette proposition est servie par une magnifique voix, déployant une subtile palette de nuances, passant habilement de la douceur bouleversante du velours lorsqu’elle console Charlotte à une puissance diaprée et lumineuse, dont le volume est particulièrement généreux, lorsqu’elle resplendit de joie. On retiendra pour longtemps la grâce déchirante de son pianissimo final « Dieu nous permet d’être heureux ! » qui contribue grandement à la beauté poignante des dernières mesures de l’opéra. »

Forum Opéra - Tancrède Lahary (full article)



« Jeanne Gérard en Sophie déploie sa très grande palette de qualités vocales, qui expliquent sa nomination parmi les révélations lyriques aux dernières Victoires de la Musique Classique et ne demandent plus qu'à s'harmoniser et s'approcher les unes des autres sans rien perdre de ce grave affirmé, cet aigu rayonnant, ces agiles vocalises chantant l'oiseau, cette articulation très vibrante ou fort noble, au vibrato et à l'amplitude richement projetés (sans oublier son air mutin, renforcé par le fait qu'elle et Charlotte font la même taille que les jeunes choristes au plateau). » 

Olyrix - Charles Arden (full article)



« L’émotion suscitée par le spectacle aurait-elle été la même sans l’équipe de chanteurs réunis pour l’occasion ?  (...) Les quatre personnages principaux se révèlent être d’une crédibilité physique et vocale totale. (...) Jeanne Gérard est une Sophie vocalement très soignée, plus lyrique et moins acidulée qu’à l’accoutumée, ce qui lui confère un relief d’autant plus intéressant que la mise en scène en fait une possible rivale de Charlotte (Sophie presse amoureusement un habit de Werther que le jeune homme a oublié dans la serre…). »

Première Loge - Stéphane Lelièvre  (full article)



« La Sophie de la jeune soprano Jeanne Gérard, nommée aux dernières Victoires de la Musique classique, s’avère d’une musicalité infaillible, avec un timbre un peu plus corsé que de coutume dans cet emploi, qui l’éloigne des mièvreries d’usage. »

Opera Online - Emmanuel Andrieu (full article)



« En Sophie, Jeanne Gérard fait entendre un joli soprano, d’une largeur qui donne l’impression d’un instrument ferme et aguerri, davantage que juvénile. »

Anaclase - François Jestin (full article)




« A ses côtés, brille une soprano à la voix pétillante, Jeanne Gérard, nommée dans la catégorie "Révélation" lors des dernières Victoires de la musique classique. »

Nice Matin - André Peyregne (full article)

Génération @Aix, Festival de Pâques d'Aix-en-Provence, March 2021

« Jeanne  Gérard, autre révélation  de la scène musicale française »
Radio Classique - Laure Mézan (full article)
«Une révélation » 
Le Figaro - Thierry Hilleriteau (full article)
«Une pointure » 
Le Dauphiné libéré (full article)

Portrait - Victoires de la Musique Classique, February 2021

« Depuis [ses débuts aux Chorégies d'Orange], difficile d'ignorer le potentiel de ce soprano lyrique bien trempé et très à l'aise sur scène.»

Diapason - Benoît Fauchet (full article)

Cérémonie des Victoires de la Musique classique, February 2021

« Les trois sopranos, nommées dans la catégorie « Révélations » sont les plus émouvantes du monde : (...) Jeanne Gérard, par un soprano lyrique chatoyant et un jeu incandescent, ceux d’une grande Violetta à venir  »

Forum Opéra - Marie-Laure Machado (full article)
« Jeanne Gérard, une ancienne khâgneuse, tout à fait bouleversante dans l’opéra italien. »
Tvmag/ Le Figaro - Isabelle Mermin (full article)

Portrait - Opera Online,  January 2020

« Jeanne Gérard incarne la relève du chant lyrique en France »

Opera Online - Thibault Vicq (full article)

Debussy, Strauss, Schubert - Neutra Production,  Décembre 2020

« Jeanne Gérard illumine Connaissance du Monde »

Forum Opera - Audrey Bouctot (full article)

Wiener Blut - Festival de Fénétrange, October 2020

« Le constat est le même pour Jeanne Gérard (tête d'affiche des dernières Musiques en Fête). La rage et la fureur de Donna Anna transparaissent dans des aigus puissants, comme une déflagration de souffrance. Elle apporte un soin particulier aux consonnes, qu’elle étire sur « vendetta » et la perception fine du texte est une évidence.  Le maintien du souffle est modelé, les nuances soignées. La diction conserve les mêmes qualités dans les trois langues, avec, pour la soprano aussi, un timbre adapté а chaque personnage. Lа où les aigus exprimaient toute la puissance de la Comtesse, ils façonnent la Giuditta de Lehar, libre et séductrice, comme ils amusent dans la folle soirée chez Orlofsky de l’autre Comtesse, la pseudo-hongroise Czardas. La Marietta de La Ville morte de Korngold offre sa page la plus émouvante а Jeanne Gérard, dont l’expressivité douloureuse ressort dans les aigus comme dans les mediums.

(…) La magie du programme s’opère aussi par la présence scénique forte et engagée d’Ambroisine Bré et Jeanne Gérard.(...) Outre leurs qualités vocales, elles séduisent le public par cette expressivité scénique qui les fait entrer dans la peau de leurs divers personnages »


Olyrix - Céline Wadoux (full article)

Concert Hommage à Beethoven - Opéra National de Paris, October 2020

«  Jeanne Gérard vit aussi pleinement le chant qu'elle individualise les phrases textuelles et les phrases musicales. L'appui a un riche potentiel lyrique avec les couleurs verdoyantes de l’Irlande. »

Olyrix - Charles Arden (full article)

Musiques en fête - Chorégies d’Orange, September 2020

« La jeune soprano colorature Jeanne Gérard fait également forte impression dans l’air « O luce di quest’ anima » extrait de Linda di Chamounix (Donizetti), où elle fait montre d’une incroyable facilité à sortir des notes aussi folles qu’extrapolées. »

Opera Online - Emmanuel Andrieu (full article)
 

Récital de musique française - Verbier Festival at Home - June 2020

" La soprano franco-italienne Jeanne Gérard propose une performance bluffante. L’aisance technique est évidente. La maîtrise des effets est impressionnante, passant d’une voix pleine aux aigus pianissimi avec une élégante facilité (O Dieu... Ah ! Je ris), et alternant la douceur de velours (Violon) et la rugosité de la nostalgie (Tristesse). La mélancolie de certaines partitions (C) est parfaitement restituéee, et certains morceaux en ressortent bouleversants (Elégie). Soutenue par un vibrato équilibré, la voix sait se faire extrêmement puissante si nécessaire, et déploie à chaque instant sa grande générosité, prenant des accents cuivrés qui lui confèrent toute sa beauté et son originalité. La diction est plus qu’impeccable car elle est théâtralement travaillée, chaque mot ressortant caractérisé en profondeur par une intention particulière. Ces effets sont renforcés par un jeu théâtral très juste, dont on devine l’étendue palette, passant de la coquetterie de Manon (Je suis encore toute étourdie) à la folie d’Ophélie (A vos jeux, mes amis... Partagez-vous mes fleurs). "
[Forum Opera - Tancrède Lahary]
https://www.forumopera.com/verbier-quarantine-concerts-streaming-verbier-je-suis-encore-tout-ebloui-streaming
" Quand Jeanne Gérard ouvre le bal avec Violon et C de Poulenc, nous redécouvrons la sensation perdue de l’audition. Elle déclame le texte avec vigueur et fait chatoyer la surface mélodique de couleurs moirées. Autant dire que ces premières notes nous familiarisent de suite avec le monde lyrique d’avant-confinement. Entendre le son d’une voix, quelle qu’elle soit, est une chose ; l’expérience de spectateur recevant le partage d’une interprétation en est une autre. Revenir à ces émotions oubliées nous fait comprendre pourquoi nous continuons à aller à l’opéra. L’aisance affirmative change de camp, pour toucher l’interrogation dans les antithèses de Fauré. La soprano assouplit délicatement la matière vocale, voguant désormais au rythme d’un ping-pong cérébral. Puis elle enveloppe l’Antiquité de Néère (Hahn) d’une sérénité au Destin que le théâtre classique pourrait embrasser. D’une Manon « encore tout étourdie », elle fait une arme de sensualité, faussement effarouchée. Marguerite rit de se voir « si belle en ce miroir » avec une ardeur aux confins de la schizophrénie, comme si elle s’imprégnait de ce reflet comme d’une réalité augmentée. La question n’est pas la futilité de la scène, sinon l’épaisseur d’une image vue par un personnage de quinze ans qui croque sa vie comme une nécessité. Enfin, celle qui prépare sa première Pamina et projette ses envies de Violetta et Lucia, livre une prometteuse scène finale d’Ophélie (Hamlet, de Thomas), sans mélancolie gratuite. Elle incarne l’aplomb d’une femme brandissant la responsabilité de ses idées. Le timbre modulable, au gré des visions, charme au même titre que la réflexion érudite sur le texte dans l’ensemble des pièces."
[Opera Online - Thibault Vicq]
https://www.opera-online.com/fr/columns/thibaultv/jeanne-gerard-et-paul-montag-nous-redonnent-les-cles-dun-paradis-perdu

Concours International d'Opéra et de mélodie de Mâcon - November 2019

" Jeanne Gérard, soprano parisienne, truste les prix du concours. Le 26è concours international de chant de Mâcon a récompensé Jeanne Gérard, soprano parisienne. En effet, lors de la finale de dimanche, elle a raflé trois prix dont le prix d'opéra et le prix du public, laissant loin derrière, les cinq autre candidats."
[Le Journal de Saône et Loire - Marie Salerno]
https://www.lejsl.com/edition-macon/2019/11/11/jeanne-gerard-soprano-parisienne-truste-les-prix-du-concours

Concorso Lirico Internazionale Ottavio  Ziino - November 2019

"Il livello dei tredici finalisti di questa edizione era veramente ottimo"
[Giornale della musica - Mauro Mariani]
https://www.giornaledellamusica.it/news/francesca-benitez-vince-il-concorso-lirico-ottavio-ziino

After the dark: the Lab Kabarett, Verbier Festival - July 2019

"Jeanne Gérard est bouleversante sur la musique de Kurt Weill, en particulier sur Je ne t’aime pas, hallucinante plongée en déchirement intérieur."
[Opera Online - Thibault Vicq]
https://www.opera-online.com/fr/columns/thibaultv/les-lieder-en-delire-au-verbier-festival?fbclid=IwAR3IEqyZ387pmebAYuzybk9kO6V7x5STTJS6WcUlhaBqbcM2g-ZqfgC520Y

Die Frau ohne Schatten, Strauss (Der Hüter der Schwelle des Tempels), Verbier Festival - July 2019

« Les abondants rôles secondaires sont tenus par de jeunes artistes de la Verbier Festival Academy, tous aussi doués et promis à de belles carrières. »

[Classiquenews - Albert Dacheux, ]

https://www.classiquenews.com/compte-rendu-opera-verbier-le-22-juil-2019-strauss-die-frau-ohne-schatten-la-femme-sans-ombre-siegel-gergiev/

 

« Signalons l’excellence de chacune et de chacun »

[Forum Opera - Yvan Beuvard]

 

https://www.forumopera.com/la-femme-sans-ombre-verbier-festival-verbier-dejouer-le-mauvais-sort-et-linfertilite

Concert de clôture de l'Atelier Lyrique - Verbier Festival - July 2019

" (...) la musique des mots extrêmement  bien consolidée par une diction admirable (...) Jeanne Gérard, avec les mêmes brillants outils, alimente Ravel d’une prosodie ondulatoire et musquée"
[Opera Online - Thibault Vicq]
https://www.opera-online.com/fr/columns/thibaultv/les-lieder-en-delire-au-verbier-festival?fbclid=IwAR3IEqyZ387pmebAYuzybk9kO6V7x5STTJS6WcUlhaBqbcM2g-ZqfgC520Y

Concours International de Chant Georges Enesco - October 2018

Orfeo ed Euridice, Gluck (Amore), Armel Opera Festival - July 2018

« However, the strongest character in the show was the gorgeous Jeanne Gérard, who sang the role of Amore in a red jacket and leather pants. (...) Her acting was just as powerful and moving as her transcendent voice which seemed to beam from the heavenly realms."

[Revizor - Csabai Máté]

 

 

https://revizoronline.com/hu/cikk/7383/gluck-orfeo-euridice-armel-opera-festival/?fbclid=IwAR2ReDK-dBpguEqRJOJ5_XHD0K12mFC9NjFmCPhtXveZoJhT73sf3CDXDPE

Lied and Russian songs, Musique à Beauregard - July 2017

« La soirée de jeudi, dédiée aux compositeurs allemands et russes, a véritablement enchanté les amateurs de musique classique qui se sont laissés bercer par la voix exceptionnelle de Jeanne Gérard »

[Le Dauphiné libéré - Jean Paul Chavas]
 

https://www.musiqueabeauregard.com/actualites?lightbox=dataItem-j6wcyotk
bottom of page